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BEP MRCU EN CANDIDAT LIBRE OU 2NDE PRO 3 ANS

19 octobre 2010

PSE PREVENTION , SANTE, ENVIRONEMENT

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19 octobre 2010

REVISION FRANCAIS BEP OU BAC

Fiches pour CAP / BEP et révisions BAC PRO…

(inspirées des annales BEP Delagrave 99 et Réflexes BEP Nathan Technique 2000)

Introduction – classer des textes -

Les textes peuvent se classer de différentes manières mais en français on privilégiera deux entrées majeures :

è Tout ce qui est « littéraire » se classe par genre (et sous genres) :

Genres

Les romans - nouvelles

Les contes

La poésie

Biographie

Le théâtre

(…)

Sous-genres ou types

Policier

Fantastique

Aventure

Merveilleux

Philosophiques

Le sonnet

Les bergeries

autobiographie

Comique

Tragique

Tragi-comique

Absurde

(…)

è Mais il existe d’autres formes d’écrits que la littérature :

- Textes fonctionnels comme une lettre de motivation, un CV, un rapport de stage, une affiche préventive…

- Texte de presse comme un éditorial, un article, un fait divers…

- Textes publicitaires : slogans, publi-reportages…

- Textes personnels : lettre, journal intime…

- (…)

Et, de plus, les choses ne sont jamais aussi carrées que l’on voudrait qu’elles soient, ainsi un texte de théâtre classique peut, par bien des aspects, ressembler à un poème ou du moins en avoir quelques caractéristiques essentielles… , ainsi, un fait divers prend vite des allures de nouvelle ou, du moins, une nouvelle peut s’en inspirer…

Alors par delà les genres on a les types de texte, cinq sont à retenir et le prénom DIANE peut vous y aider s’il est utilisé en acrostiche :

D escriptif : pour décrire qqch ou qqun : voir fiche n°2

I njonctif : pour donner des conseils ou des ordres (tracts, consignes diverses…)

A rgumentatif : pour convaincre qqun : voir fiche n°3

N arratif : pour raconter qqch : voir fiche n°1

E xplicatif (ou informatif) : pour informer ou expliquer un fonctionnement : article de journal, notice d’emploi… : voir fiche n°4

Toute production écrite tendra à avoir un type de texte dominant, que l’on vous demandera soit de reconnaître, soit de produire…

Mais attention, plusieurs « type de texte » peuvent apparaître dans un écrit (une nouvelle aura une dominante narrative mais comportera la plupart du temps des passages descriptifs voire argumentatifs ou même informatifs ou injonctif…)

Ci-dessous vous trouverez un ensemble de 7 fiches ainsi classées (cliquez pour vous y rendre) :


Fiche n°1 : Le narratif

Fiche n°2 : Le descriptif

Fiche n°3 : L’argumentatif

Fiche n°4 : La presse

Fiche n°5 : La poésie

Fiche n°6 : Le théâtre

Fiche n°7 : Sur l’image


Fiche n°1 : Le NARRATIF

· Genres associés

Le narratif est le type de texte privilégié du roman, de la nouvelle, des contes mais aussi des faits divers (bref tout ce qui « raconte une histoire »)

· DEFINITION

Dans un texte narratif un narrateur raconte une action qui progresse dans le temps et dans l'espace. (schéma narratif)

Il cite des faits, décrit des personnages, rapporte leurs propos, commente leur comportement.

Parfois le narrateur participe à l'action, (narrateur-personnage); le plus souvent il n'en est que le témoin (narrateur effacé), et surtout il ne faut pas le confondre avec l’auteur (dans un récit – sauf autobiographique et encore - si le « je » est utilisé, c’est celui d’un narrateur (personnage fictif) et non celui de l’auteur (qui lui est réel contrairement aux personnages qui ont été inventés ou au moins déformés)

· INDICES

Ø Qui dit narratif dit actions (donc verbes d’action), ces actions se déroulent selon un schéma narratif

(Situation InitialeèÉvénement PerturbateurèPéripétiesèÉvénement ÉquilibrantèSituation Finale)

Ø Parce qu’il y a des actions qui se suivent vous devez trouvez des indicateurs de temps (auparavant, avant, maintenant, puis, après, ensuite…)

Ø Les temps du passé prédominent le plus souvent, notamment le passé simple : action entreprise et achevée, et l'imparfait : action entreprise, mais inachevée. D'autres temps du passé interviennent, notamment le plus-que-parfait qui exprime une action antérieure à une action passée.

Attention : il existe aussi des textes narratifs au présent (dit « présent de narration » accompagné du passé composé) !

Ø Le récit est souvent écrit à la troisième personne et le narrateur s'efface derrière des thèmes divers (faits, lieux, objets, personnages, émotions...).

Ø Le texte contient des indications précises intéressant les personnages, l'époque et le milieu.

· Les POINTS DE VUE

Le regard sur l’action, sur les personnages ou sur les lieux, objets peut prendre trois formes différentes :

- Point de vue Interne : informé, mais subjectif.

è C’est le regard d’un personnage qui dit ce qu’il voit avec le filtre de sa personnalité, de son expérience (donc subjectif : centré sur le sujet). Il livre son interprétation et quand il dit qu’une jeune fille est belle ou bête (ou les deux) il n’engage que lui, d’autres auraient pu penser autrement…

- Point de vue Externe : moins compétent, mais plus objectif.

è Ce qui est dit, révélé, raconté est le plus objectif (centré sur l’objet) possible, aucune pensée personnelle n’est livrée, aucun jugement…

- Point de vue Omniscient : absolument subjectif

Ce qui est dit révèle la présence d’un narrateur qui voit tout, qui sait tout des personnages, il livre les pensées intimes de chacun, il connaît leur passé, leur futur, il est partout, dedans, dehors, il juge leurs actions, leur physique… C’est un regard divin sur des créatures marionnettes…


Fiche n°2 : Le descriptif

· Genres associés

Le texte descriptif est souvent associé au narratif auquel il donne un cadre, on le trouvera donc dans les romans, les nouvelles ou les contes…

· SON BUT

Le texte descriptif donne à voir aux lecteurs, un objet, un animal, un lieu. Lorsqu'il s'agit d'une personne, on parle de portrait. Le texte descriptif a pour fonction de donner un cadre à l’action, de la rendre réaliste et « trahit » le regard (objectif ou subjectif) du narrateur.

· SA CONSTRUCTION

En premier lieu, le plus souvent, on nomme l'objet décrit puis on le détaille en une succession d'éléments, eux-mêmes parfois décomposés en sous-éléments (présence d’un champ lexical). Ces divers éléments de l'objet décrit sont reliés par des mots de liaison permettant au lecteur de se repérer dans l'espace (ici, là-bas, plus loin, devant, derrière, au premier plan...).

· LES PROCEDÊS D'ÊCRITURE

Ø Des verbes d’état : être, paraître, sembler…

Ø Les temps de verbe : le présent ou l'imparfait du mode indicatif.

Ø Un champ lexical dominant : ensemble de mots qui se rapportent à la même idée, réalité (champ lexical de la peur, de la guerre, de la mer…)

Ø Les expansions du groupe nominal : chaque groupe nominal caractérisant un élément ou un sous-élément de l'objet décrit reçoit généralement une ou plusieurs expansions grammaticales (un adjectif qualificatif, un complément du nom, une proposition subordonnée relative) qui expriment le point de vue de celui qui décrit.

Ø Les images poétiques : elles traduisent, par les connotations qu'elles suggèrent, le point de vue de l'énonciateur du texte sur l'objet décrit. Ce sont soit des comparaisons, soit des métaphores.

· LES POINTS DE VUE

L'objet décrit (un personnage ou un décor) n'existe pas en soi. Il est toujours donné à voir au lecteur par l'intermédiaire d'un regard : le point de vue (voir fiche « narratif »)


Fiche n°3 : L’argumentatif

· Définition

L'intervenant (ou "locuteur") exprime des idées ou des sentiments personnels qu'il s'efforce de faire partager à autrui dans l'intention de modifier son état d'esprit voire de le faire changer d’avis (de le convaincre).

Un texte argumentatif est composé de différents éléments :

Ø un thème qui est le sujet général du propos posé de façon neutre (le clonage, l’adoption homosexuelle, la peine de mort…)

Ø une thèse défendue (pour le clonage animal / contre la peine de mort…)

Ø une thèse réfutée (la thèse adverse de celle que l’on défend : la thèse de « l’autre »)

Ø des arguments (ils sont abstraits (ce sont des idées) mais ils ont une valeur générale )

Ø des contre-arguments (des arguments qui contredisent la thèse défendue et soutiennent la thèse réfutée…)

Ø des exemples (ils sont concrets (ce sont des faits), mais ils ne représentent que des cas particuliers)

Ø des connecteurs logiques qui expriment l’opposition (mais , par contre, cependant, en revanche…), l’addition (et, de plus, par ailleurs…), la cause (parce que, puisque, en raison de…), la conséquence (si bien que, ainsi, aussi, dés lors, donc…), l’hypothèse (si, à condition que, au cas où…)

è Seuls les arguments sont capables de prouver, alors que les exemples et les faits se contentent d'illustrer.

è Un argument est unique alors qu’un exemple est substituable (on peut le remplacer par un autre qui aura la même fonction, qui illustrera également l’argument…)

· Indices

Ø Le présent domine, accompagné parfois du passé composé et du futur

Ø Le conditionnel, le subjonctif et l'impératif s'ajoutent à l'indicatif pour exprimer les nuances de la pensée

Ø Le locuteur parle ou écrit souvent à la première personne (je) puisqu'il délivre un message personnel. Toutefois, pour donner plus d'objectivité à ses propos, il s'efface parfois derrière les faits et les idées, cités à la troisième personne, ou inclue le lecteur ou l’auditeur (nous, on)

Ø Le locuteur s'adresse volontiers à son destinataire (l'allocutaire - qu'il interpelle, implique et presse d'adhérer...) à la deuxième personne (tu, vous)

Ø Des indices d’opinion : comparatifs (plus, moins), vocabulaire mélioratif (exceptionnel, mieux, admirable…) ou dévalorisants (impensable, horrible, détestable…), verbes d’opinion (penser, croire, affirmer…)

· Idéologie

Le discours, et plus particulièrement le texte argumentatif, expriment des appréciations personnelles nées de valeurs morales, sociales, culturelles... (il ne faut pas tuer qqun dans le dos - il ne faut pas cracher par terre - le fromage ne pue pas, il embaume…)

Plusieurs indices permettent de les identifier :

Ø l’implication du locuteur (moi, je, mon, nos…)

Ø des adjectifs, maïs aussi des noms et des verbes, qui expriment un jugement personnel (beau/laid, bon/mauvais, juste/injuste…)

Ø des adverbes et des pronoms indéfinis qui généralisent jusqu'à l'absolu (aucune, seule, tout, l’ensemble…)

Ø des champs lexicaux connotés négativement ou positivement (si par exemple un ordinateur est comparé à un « machin truc bidule » ou s’il est vu comme l’avenir de l’homme…)


Fiche n°4 : la presse

· Presse et type de texte

La presse est majoritairement composée d’articles. Il existe deux grandes catégories d’articles : ceux qui informent d’un événement (donc type de texte Informatif) et ceux qui expriment l’opinion d’un journaliste (donc plutôt type de texte Argumentatif)

· Les articles informatifs

Le fait divers rapporte des événements, souvent locaux, qui touchent à la vie quotidienne, ils sont soit comiques, soit tragiques, soit insolites (bizarres)

La brève qui est un article très court qui rapporte une anecdote.

L’article qui développe un événement important sans jugement de la part du journaliste qui ne fait que rapporter des faits.

· Les articles « argumentatifs »

L’article de fond est un texte long qui donne un point de vue sur un événement / problème important. Comme tout texte argumentatif il comporte des arguments, des exemples…

L’éditorial figure à la première page du journal (la « Une ») ou au début du magazine. Il exprime l’opinion de la rédaction (il est normalement écrit par le rédacteur en chef) sur un problème ou un événement d’actualité. Il révèle la plupart du temps l’orientation politique d’un journal.

Les critiques (ou chroniques) qui donnent le point de vue d’un spécialiste sur les nouveautés de l’édition (livres), du cinéma (films) ou du monde musical (disque).

Le courrier des lecteurs qui contient la plupart du temps des textes qui expriment l’opinion des lecteurs du journal à propos d’un article paru dans ce même journal.

· Types de journaux / Magazines

Les quotidiens

Souvent marqués politiquement, ils sont nationaux comme Libération, Le Monde, Le Figaro (…) ou Régionaux comme L’Est Républicain, Ouest France, Le Dauphiné Libéré (…)

Les Périodiques

Souvent spécialisés (Sciences, Pêche, Informatique …), il sont hebdomadaires, bimensuels, mensuels, bimestriels, trimestriels, semestriels…

· La composition d’un article de presse

Le titre est court et accroche l’œil du lecteur, phrase sans verbe (phrase nominale) ou jeu de mot pour être efficace

Le chapeau se trouve sous le titre et résume l’article

L’attaque est le début de l’article, elle s’efforce de retenir l’attention du lecteur pour l’inciter à continuer

La chute qui est la fin de l’article souvent constituée par un commentaire plus personnel du journaliste ou une touche d’humour

· La rédaction d’un article de presse

è S’il informe l’article se doit d’être le plus objectif possible : pas de jugement, juste des faits, rien que des faits !

è S’il expose une opinion alors il doit comporter les caractéristiques du texte argumentatif (voir fiche n°3)

è Un article de presse n’est pas un texte narratif et doit être quasi-exclusivement rédigé au présent et au passé composé


Fiche n°5 : La poésie

· Définition

Le texte poétique utilise un langage qui s'adresse moins à la raison qu'à l'imagination et la sensibilité.

Le texte poétique se caractérise par une mise en page (disposition particulière), une mise en images (figures de style) et/ou une mise en rythme.(des jeux sonores) mais pas forcément les trois en même temps !

Il existe des poèmes en vers (poèmes « classiques ») ou en prose (comme n’importe quel texte sauf qu’il comportera davantage de jeux sur les mots ou les sons…)

· La mise en page

Les vers, réguliers ou non, sont souvent regroupés en strophes dont l'organisation est définie par la place des rimes.

Ø Quelques vers à connaître :


L’hexasyllabe : 6 syllabes

L’octosyllabe : 8 syllabes

Le décasyllabe : 10 syllabes

L’alexandrin : 12 syllabes


Ø Trois types de rimes

Rimes suivies / plates (aabb) ou rimes croisées (abab) ou rimes embrassées (abba)

· La mise en Image

La poésie privilégie tous les moyens qui donnent à voir et à imaginer parce que :

- parce que le réel, la réalité, n’est pas toujours facile à cerner avec des mots,

- parce que parfois ce que l’on veut dire échappe au langage,

- parce que parfois l’émotion est trop forte alors le poète soit invente des mots (néologismes) soit a recours à des images poétiques pour donner à voir « autre chose ».

Entre autres images poétiques :

- la comparaison : elle est introduite par un mot-outil de comparaison ou un verbe de comparaison (« comme » mais aussi « tel » ou « ressemble à »…)

- la métaphore : c’est aussi une comparaison mais implicite, il faut deviner le lien entre les deux réalités comparées. (dans « Sur les flots dorés de tes cheveux », les cheveux sont implicitement comparés à des vagues ondulantes, on imagine leur mouvement, leur souplesse, leur brillance…)

- la personnification : c’est le fait d’attribuer à des objets, idées, animaux des caractéristiques humaines (comportement, pensées, sentiments…)

- l’oxymore : qui permet la nuance entre deux réalités opposées (« l’obscure clarté des étoiles »…)

· La mise en rythme

La poésie privilégie tous les moyens permettant de réunir les mots en groupes réguliers ou irréguliers en vue de susciter un rythme évocateur :

Ø des séquences de longueur variable délimitées par des accents (voix plus forte) et des pauses (arrêts de la voix)

Ø des rejets, lorsque la phrase, unité de sens, ne coïncide pas avec le vers, unité de rythme, et déborde sur le suivant

Ø des rimes introduisant alors un effet de ponctuation sonore

Ø des mots répétés (anaphores) qui renforcent le rythme

Ø ·le retour d'un même son (allitération, s'il est consonne, assonance, s'il est voyelle) qui suscite une mise en relief et approche des termes voisins


Fiche n°6 : Le Théâtre

è Tout texte théâtral a été écrit pour être lu et dit.

· les paroles des personnages (à dire et à lire)

Ø les répliques : des échanges de paroles

Ø la tirade : une longue réplique adressée à qqun

Ø le monologue : la tirade d'un personnage seul sur scène

Ø le soliloque : tirade d'un personnage en présence d’autres personnages (au moins un)

Ø l'aparté : des paroles adressées en particulier au public (que les autres personnages sur scène ne sont pas sensés entendre, quelquefois des pensées secrètes d’un personnage

· Les didascalies de l'auteur (à lire)

Souvent en italiques dans le texte, ce sont des indications de l’auteur qui donnent au lecteur, au metteur en scène, aux comédiens, des informations sur le décor, les costumes, la distribution de la parole et les effets scéniques...

· Son énonciation

Ø Le discours direct

La première et la deuxième personnes pour l'émetteur et le récepteur ; la troisième personne pour le référent,

Les temps verbaux du discours : le présent, le passé composé, l'imparfait, le futur...

Des marques de lieu et de temps qui renvoient à l'énonciation du message,

Ø La double énonciation théâtrale :

X

Y


Les répliques ont toujours un double destinataire. Ex. :

PUBLIC

Grâce à cette double énonciation, le public peut rire des quiproquos (l’amant planqué dans le placard tandis que le mari rentre dans la chambre…), des méprises, ou trembler pour un des héros car il peut arriver que ce public en sache plus que les personnages eux-mêmes sur ce qui se passe exactement


Fiche

19 octobre 2010

COMMENT APPRENDRE ?

Sept astuces pour mieux mémoriser

1. Apprendre par cœur, répéter

Utile pour : progresser dans une matière scientifique ou littéraire.
Eh non, apprendre par cœur n'est pas bête, c'est même tout le contraire ! La répétition est le mécanisme élémentaire de la mémoire. Elle aboutit à des connexions stables entre neurones (par les points de jonction appelés synapses) et à une communication facilitée (par les neurotransmetteurs). En général, il faut des dizaines, parfois même des centaines de répétitions pour apprendre quelque chose, notamment pour les apprentissages sensori-moteurs (vélo, dactylographie, conduite automobile...).

2. Apprendre en plusieurs fois

Utile pour : consolider n'importe quel apprentissage (exercice, cours...).
L'un des phénomènes découverts dès le début des recherches est « l'apprentissage distribué». En clair, instaurer des périodes de repos au cours de l'apprentissage donne de meilleurs résultats que l'apprentissage d'une seule traite. Le cerveau a besoin de temps et de sommeil, en particulier pour consolider l'apprentissage (notamment pour la construction de prolongements cellulaires). Les étudiants qui bachotent ont donc tout faux ! Il faut apprendre progressivement et régulièrement, en se ménageant des périodes de repos (apprentissage distribué) et en privilégiant le sommeil.

3. Lire : une méthode qui n'en a pas l'air

Utile pour : augmenter son vocabulaire.
Le stock de mots à acquérir au cours de l'évolution scolaire est énorme. D'après des chercheurs américains, les mots ne sont pas assimilés par instruction directe (dictionnaire, lexique, cours...), mais tout simplement par la lecture. Un lecteur moyen lit environ un million de mots par an. C'est donc par inférence d'après le contexte de lecture que les mots seraient principalement acquis. C'est la méthode la plus rapide et la plus économique d'acquisition du vocabulaire.

4. Faire un résumé

Utile pour : retenir un cours complexe en philo ou en histoire.
Les professeurs qui demandaient aux élèves d'apprendre un résumé par cœur avaient raison. Ce dernier fonctionne comme plan de récupération, avec la fonction d'organiser les mots clés importants. C'est pourquoi les fiches sont si utiles pour réviser.

5. Structurer un texte

Utile pour : se souvenir d'un cours tout simplement.
De nombreuses recherches ont montré que tout apprentissage, même par cœur, consiste à faire des groupes d'information solides. C'est ce que l'on appelle l'organisation. La pratique qui consiste à bien structurer les cours, par chapitres, paragraphes et sous-paragraphes, est donc très bonne ; faire des fiches aussi. En revanche, souligner avec des couleurs ne fait pas « rentrer les mots dans une mémoire visuelle » mais permet de faire ressortir un concept parmi d'autres mots ou de différencier des thèmes différents.

6. Inventer une histoire comme plan de rappel

Utile pour : retenir des noms propres, les différentes parties du plan d'une fiche, etc.
Une expérience menée en 1969 montre que l'histoire clé peut être une technique très efficace. Il s'agit, pour retenir une liste de mots, d'inventer une histoire qui relie les différents termes de la liste. Dans cette expérience, le groupe qui a utilisé cette méthode a obtenu un taux de mémorisation de 93 % (soit 100 mots retenus), contre 13 % pour le groupe qui n'avait reçu aucune instruction. Voici un exemple (les mots de la liste sont en capitales) : « Un VÉGÉTAL peut être un INSTRUMENT utile pour un collège d'étudiants. Une carotte peut être un CLOU pour votre CLÔTURE ou BASSIN. Mais un MARCHAND de la REINE voudra mesurer cette clôture et donne la carotte à la CHÈVRE. » Le résumé est un cas particulier d'histoire clé reliant les principaux thèmes ou concepts.

7. Les plans basés sur les mots

Utile pour : se souvenir de mots complexes en sciences (très utilisé par les étudiants en médecine).
Une méthode très courante consiste à faire des mots avec les premières lettres ou syllabes d'une liste ou des termes d'un texte. Sur le plan de la mémoire, il s'agit d'un plan de récupération. Mais cette méthode fonctionne uniquement si les mots à retenir sont déjà connus.
Par exemple :
• SATURNE sert de mot clé pour se souvenir des trois planètes dans l'ordre de leur éloignement par rapport au soleil : SATurne, URanus, NEptune.
• La phrase « Me Voici Tout Mouillé, Je Suis Un Nageur Pressé » permet de se remémorer toutes les planètes du système solaire : Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Pluton.
• « Cambronne, s'il eut été dévot, n'eût pas carbonisé son père » permet de faire la liste des périodes géologiques de l'ère primaire : cambrien, silurien, dévonien, carbonifère, permien.
• « Mais où est donc Ornicar ? » permet de se souvenir des conjonctions de coordination : mais, ou, et, donc, or, ni, car.
• « Sur la racine de la bruyère, la corneille boit l'eau de la fontaine Molière », pour se rappeler des grands écrivains du XVIIe siècle : Racine, La Bruyère, Corneille, Boileau, La Fontaine, Molière.

*Alain Lieury, chercheur en psychologie cognitive à l’université Paris 2, est l’auteur de « Mais où est donc... ma mémoire ? Découvrir et maîtriser les procédés mnémotechniques » (Dunod, 18,50 €).

Sophie de Tarlé

source : l etudiant.fr

10 octobre 2010

COMMUNICATION ORALE

Un site facile à lire sur la communication orale avec schéma et plein d exemple             A  VOIR 

 http://www.communicationorale.com/planete.htm  

10 octobre 2010

LIENS UTILE POUR LE BEP

Voici un lien qui aborde le thème de la communication ( très complet )

 

http://www.ac-nice.fr/pacte/Dossiers/ComSecr2001/Dossiers_ComSecret_2001.htm

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9 octobre 2010

Modalités pour passer le bep mrcu

Bonjour,

j aimerai savoir si il y a des périodes de stages obligatoire pour passer le bep mrcu en candidat libre?

car je ne trouve pas grand chose 

y a t il un rapport de stage ou un dossier à réaliser ?

car je n ai rien trouvé sur le référentiel ou alors j ai mal compris , LOL , c possible aussi

j attends de l aide car seul c est pas facile surtout quand le diplôme est nouveau

21 juillet 2010

Extrait du BO bep renové mrcu

Définition des épreuves

EP1 : Épreuve professionnelle liée au contact avec le client et/ou l’usager

Coefficient : 4

Objectif de l’épreuve :


Cette épreuve vise à apprécier la maîtrise des techniques mises en oeuvre et l’aptitude du candidat à utiliser des
documents et outils professionnels dans l’activité de contact avec le client et/ou l’usager.
Contenu de l’épreuve :
L’épreuve évalue les compétences, les comportements professionnels et les savoirs associés, inscrits dans le
référentiel de certification, relevant de l’activité A2 « Suivi, prospection des clients ou contact avec les usagers».
Critères d’évaluation :
En forme ponctuelle ou en contrôle en cours de formation, l'évaluation des compétences implique l'évaluation des
savoirs associés à l’activité A2 et s'appuie sur les critères suivants :
- l'aptitude à rendre compte de ses travaux et à les situer dans un contexte professionnel ;
- la justification de la démarche professionnelle et des moyens mobilisés ;
- l’aptitude à rechercher, à sélectionner et à exploiter des informations utiles ;
- la qualité et la pertinence des travaux écrits présentés ;
- la qualité de la communication téléphonique ;
- le professionnalisme du comportement ;
- la maîtrise des fonctionnalités des logiciels bureautiques, de gestion commerciale ou de PréAO ;
- la pertinence du choix des outils et de leurs fonctionnalités ;
- la capacité d’écoute et de dialogue, la pertinence des réponses.
Formes d’évaluation
A. Contrôle en cours de formation
L’évaluation des acquis du candidat s’effectue à l’occasion d’une situation d’évaluation réalisée en fin de classe de
seconde professionnelle ou au cours du premier semestre de la classe de première de baccalauréat professionnel,
dès que le candidat est prêt. La situation se subdivise en deux parties et se déroule en centre de formation au cours
des activités courantes.


Première partie : Contact téléphonique - coefficient : 2
Durée totale : 20 minutes maximum
- Temps de préparation : 15 minutes.
- Temps de réalisation du contact : 5 minutes.


À partir d’une situation professionnelle proposée par le professeur de spécialité (ou le formateur) et accompagnée
d’une documentation, le candidat prépare et réalise un contact téléphonique simulé ou réel avec un client ou un usager.
Les compétences, comportements professionnels et savoirs associés, appréciés lors de cette partie se rapportent aux
tâches suivantes :


A2T1 - La préparation du suivi, de la prospection ou du contact
A2T3 - La réalisation du suivi, de la prospection ou du contact par téléphone


Seconde partie : Contact par écrit - coefficient : 2
Durée totale : 40 minutes maximum


À partir d’une situation professionnelle proposée par le professeur de spécialité (ou le formateur) et accompagnée
d’une documentation, le candidat prépare et réalise un contact écrit simulé ou réel avec un client ou un usager.
Les compétences, comportements professionnels et savoirs associés, appréciés lors de cette partie, se rapportent
aux tâches suivantes :


A2T1 - La préparation du suivi, de la prospection ou du contact
A2T2 - La réalisation du suivi, de la prospection ou du contact par écrit
B. Forme ponctuelle
L’évaluation des acquis du candidat s’effectue sur la base d’une épreuve ponctuelle terminale orale et écrite.


L’épreuve se subdivise en deux parties et se déroule en centre d’examen.
Première partie : Contact téléphonique - Coefficient : 2 - Ponctuelle orale
Durée totale : 20 minutes maximum
- Temps de préparation : 15 minutes.
- Temps de réalisation du contact : 5 minutes.


Bulletin officiel spécial n° 9 du 15 octobre 2009


© Ministère de l'Éducation nationale > www.education.gouv.fr 269 / 286


À partir d’une situation professionnelle proposée par la commission d’interrogation et accompagnée d’une documentation,
le candidat prépare et réalise un contact téléphonique simulé avec un client ou un usager. La commission est composée
d’un professeur de spécialité et d’un professionnel ou à défaut d’un second professeur de spécialité. Un membre de la
commission d’interrogation tient le rôle du client ou de l’usager.


Les compétences, comportements professionnels et savoirs associés, appréciés lors de cette partie se rapportent aux
tâches suivantes :
A2T1 - La préparation du suivi, de la prospection ou du contact
A2T3 - La réalisation du suivi, de la prospection ou du contact par téléphone


Seconde partie : Contact par écrit - Coefficient : 2 - Ponctuelle écrite
Durée totale : 40 minutes maximum


À partir d’une situation professionnelle accompagnée d’une documentation, le candidat prépare et réalise un ou
plusieurs contacts écrits avec un client ou un usager.
Les compétences, comportements professionnels et savoirs associés, appréciés lors de cette partie, se rapportent


aux tâches suivantes :
A2T1 - La préparation du suivi, de la prospection ou du contact
A2T2 - La réalisation du suivi, de la prospection ou du contact par écrit


EP2 : Pratique de l’accueil, de l’information et de la vente
Coefficient : 8 (+ 1 P.S.E.)


Objectif de l’épreuve :


Cette épreuve pratique en milieu professionnel vise à apprécier l’aptitude du candidat à accueillir, informer et vendre à
un client ou à un usager. Elle vise également à apprécier son niveau de connaissance de l’environnement professionnel,
économique et juridique d’une organisation.
Contenu de l’épreuve :
L’épreuve doit mettre le candidat en situation de révéler les compétences, les comportements professionnels et les
savoirs associés, y compris ceux relatifs à l’environnement professionnel, économique et juridique, acquis dans la
réalisation des activités suivantes :
Activité A1 - Accueil et information du client ou de l’usager
Activité A3 – Conduite d’un entretien de vente
Critères d’évaluation :
En forme ponctuelle ou en contrôle en cours de formation, l'évaluation des compétences implique l'évaluation des
savoirs associés aux activités A1 et A3 et s'appuie sur les critères suivants :
- la qualité des réponses apportées aux demandes d’information ou de conseil ;
- la qualité relationnelle établie avec le client ou l’usager ;
- le comportement professionnel ;
- la qualité de l’argumentation et de l’écoute ;
- la cohérence et la pertinence des réponses apportées lors de l’entretien de vente ;
- la qualité de l’expression et sa conformité aux règles et usages professionnels ;
- l’aptitude à transmettre des informations et à rendre compte ;
- la maîtrise de l’environnement organisationnel, économique et juridique des organisations.
Conditions de conformité à la réglementation sur les PFMP :
La durée de la PFMP nécessaire pour l’évaluation de l’épreuve pratique en milieu professionnel est de 6 semaines,


incluses dans les 22 semaines de PFMP prévues pour le baccalauréat professionnel.
Formes de l’évaluation :
A. Contrôle en cours de formation
L’évaluation des acquis du candidat s’effectue à l’occasion de deux situations d’évaluation réalisées en fin de classe
de seconde professionnelle ou durant le premier semestre de la classe de première baccalauréat professionnel, dès
que le candidat est prêt. Les deux situations se déroulent en milieu professionnel lors des P.F.M.P., le cas échéant, la
seconde situation d’évaluation peut se dérouler en centre de formation.
Situation 1. Pratique des activités en entreprise - coefficient 5
Elle comporte deux phases :
Phase 1. Activité «Accueil et information» - coefficient 2
Elle s’appuie sur la réalisation par le candidat d’un accueil et d’une information, réels ou simulés, d’un client ou d’un
usager, dans le cadre des activités habituelles d’une organisation.
Phase 2. Activité «Vente» - coefficient 3
Bulletin officiel spécial n° 9 du 15 octobre 2009
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Elle s’appuie sur la réalisation par le candidat d’une vente réelle ou simulée à un client ou à un usager, dans le cadre
des activités habituelles d’une organisation.
Le professeur (ou le formateur) chargé de l’enseignement professionnel et le tuteur en entreprise (ou le maître
d’apprentissage) se concertent en début de P.F.M.P. pour définir les deux phases de la situation d’évaluation qui seront
réalisées par le candidat durant sa P.F.M.P.
Le tuteur en entreprise observe les prestations du candidat et positionne les niveaux de compétences atteints par
celui-ci dans les activités d’accueil, d’information et de vente. Lors de son passage en entreprise en fin de PFMP, le
professeur de spécialité et le tuteur se concertent sur la base des positionnements effectués et arrêtent conjointement une
proposition de note pour cette situation d’évaluation.


Situation 2. Connaissance de l’environnement professionnel - coefficient 3
Durée maximale : 15 minute
s


Cette situation s’appuie sur un entretien avec une commission d’interrogation, composée du professeur de spécialité
et, dans la mesure du possible, du tuteur en entreprise. Elle se déroule en milieu professionnel, à l’issue de la situation 1,
ou le cas échéant en centre de formation.
- Dans une première phase, le candidat présente les caractéristiques de l’environnement professionnel, économique et
juridique de l’organisation dans laquelle le candidat a accompli sa P.F.M.P. (structure, clientèle, offre, marché).
- Dans une deuxième phase, la commission procède à un questionnement permettant d’approfondir la présentation
effectuée par le candidat.
B. Forme ponctuelle
L’évaluation des acquis du candidat s’effectue sur la base d’une épreuve ponctuelle terminale, pratique et orale.
L’épreuve se déroule en centre d’examen. La commission d’interrogation se compose d’un professeur de spécialité et
d’un professionnel ou à défaut d’un second professeur de spécialité. Elle comporte deux parties successives :
Première partie : Pratique simulée des activités d’accueil, d’information et de vente - coefficient 5
Durée : 30 minutes

Elle s’appuie sur la réalisation par le candidat de deux simulations de 15 minutes chacune. La première est relative à
l’activité d’accueil et d’information et la seconde à l’activité de vente. Un membre de la commission d’interrogation
tient le rôle du client.
La commission détermine préalablement le contexte des simulations proposées au candidat.


Seconde partie : Connaissance de l’environnement professionnel - coefficient 3
Durée : 15 minutes


Cette partie s’appuie sur un entretien avec la commission d’interrogation. Elle se déroule, à l’issue de la première
partie et comporte deux phases :
- Dans une première phase, le candidat présente les caractéristiques de l’environnement professionnel, économique et
juridique de l’organisation (structure, clientèle, offre, marché).
- Dans une deuxième phase, la commission procède à un questionnement permettant d’approfondir la présentation
effectuée par le candidat.


Prévention - santé - environnement
Coefficient : 1
L’évaluation de « prévention - santé - environnement » (P.S.E.) est intégrée à l’épreuve EP2. Elle est notée sur 20

points. Elle porte sur les mod

ules 1 à 7 de l’annexe à l’arrêté du 10 février 2009 relatif au programme d’enseignement de
Prévention Santé Environnement pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel.
1 - Objectifs de l'épreuve :
L'épreuve a pour objectif d'évaluer les capacités du candidat à :
Conduire une démarche d’analyse de situations en appliquant la démarche de résolution de problème
Mobiliser des connaissances scientifiques, juridiques et économiques
Proposer et justifier les mesures de prévention adaptées
L'évaluation porte notamment sur :
- le respect des étapes de la démarche mise en oeuvre,
- l'exactitude des connaissances,
- la pertinence et le réalisme des solutions proposées.
2 Modalités d’évaluation :
a) Contrôle en cours de formation (noté sur 20)
Le contrôle en cours de formation est organisé à partir de deux situations d’évaluation. Chaque situation d’évaluation
est notée sur 10 points.
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- première situation d’évaluation : écrite - 1 heure
Elle permet en fin de seconde professionnelle l’évaluation par sondage des compétences des modules 1 à 5 des
référentiels pour les baccalauréats professionnels (santé et équilibre de vie, alimentation et santé, prévention des
comportements à risques et des conduites addictives, sexualité et prévention et environnement économique et protection
du consommateur). Le sujet comporte plusieurs questions indépendantes ou liées sur les modules correspondants. Il
permet d’évaluer des capacités et des connaissances. A partir d’une situation de la vie quotidienne, le candidat doit
notamment mettre en oeuvre une démarche de résolution de problème.
- deuxième situation d’évaluation : écrite - 1 heure
Elle permet, au plus tard à la fin du premier semestre de la première professionnelle, l’évaluation par sondage des
compétences et des connaissances des modules 6 et 7 (gestion des ressources naturelles et développement durable et
prévention des risques). Elle prend appui sur des situations de la vie quotidienne ou professionnelle accompagnées
d’une documentation.
b) Épreuve ponctuelle (notée sur 20) - 1 heure
Le sujet se compose de deux parties indépendantes, l’une correspondant à l’évaluation des modules 1 à 5, l’autre
correspondant à l’évaluation des modules 6 et 7. Chaque partie, notée sur 10 points, comporte plusieurs questions
indépendantes ou liées sur les modules correspondants.
Première partie :
Le sujet comporte plusieurs questions indépendantes ou liées sur les modules correspondants. Il permet d’évaluer
des capacités et des connaissances. À partir d’une situation de la vie quotidienne, le candidat doit notamment mettre
en oeuvre une démarche de résolution de problème.
Deuxième partie :
Le sujet comporte plusieurs questions indépendantes ou liées sur les modules correspondants. Il permet d’évaluer les
connaissances relatives à l’environnement et aux risques. Le candidat dispose de documents ressources lui
permettant de proposer une démarche de prévention.
EG1- Français, histoire - géographie et éducation civique
Coefficient 6
1 - Objectifs de l’épreuve :
La partie de l’épreuve portant sur le français permet de vérifier, à l’issue de la première professionnelle, l’acquisition
des trois compétences citées dans le programme d’enseignement du français pour les classes préparatoires au
baccalauréat professionnel :
Entrer dans l’échange écrit : lire, analyser, écrire
Devenir un lecteur compétent et critique
Confronter des savoirs et des valeurs pour construire son identité culturelle.
La partie de l’épreuve portant sur l’histoire - géographie - éducation civique vise à apprécier le niveau des connaissances et
capacités acquises par le candidat au cours de la première professionnelle dans les sujets d’étude choisis parmi ceux
prévus par le programme d’enseignement de l’histoire - géographie - éducation civique.
2- Modes d’évaluation :
a) épreuve ponctuelle écrite (notée sur 20) - 3 heures :
Les deux parties de l’épreuve (français et histoire - géographie-éducation civique) sont évaluées à part égale, sur 10
points.
- Première partie : français (1 heure 30)
A partir d’un texte littéraire et/ou d’un document, le candidat répond, par écrit, à des questions de vocabulaire et de
compréhension. Il rédige ensuite un texte qui peut être une écriture à contraintes (suite de texte, récit, portrait, écriture à la
manière de…) ou une écriture argumentative (vingt à vingt cinq lignes).
- Deuxième partie : histoire - géographie - éducation civique (1 heure 30)
L’épreuve consiste en un questionnaire à réponse courte (cinq à dix lignes) ou à choix multiples qui porte sur des sujets
d’étude et sur des situations définis dans le programme de première professionnelle. Deux questions sont posées en
histoire, deux en géographie et une en éducation civique. Les questions peuvent comporter un support documentaire
(texte, image, carte…).
En histoire, une question est posée sur un des cinq sujets d’étude obligatoires et une autre sur une situation relevant
de l’un des quatre autres sujets d’étude. Cette seconde question est choisie par le candidat parmi trois questions
correspondant chacune à une situation de ce sujet d’étude.
En géographie, une question est posée sur un des quatre sujets d’étude obligatoires et une autre sur une situation
relevant de l’un des trois autres sujets d’étude. Cette seconde question est choisie par le candidat parmi trois questions
correspondant chacune à une situation de ce sujet d’étude.

En éducation civique, une question est posée sur le thème obligatoire du programme.

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Les questions d’histoire sont notées sur 4 points, les questions de géographie sur 4 points, la question d’éducation
civique sur 2 points.

b) Contrôle en cours de formation (noté sur 20)
Les situations d’évaluation de français sont notées sur 10 et celles d’histoire - géographie - éducation civique
également sur 10.
- Français
Les deux situations d’évaluation, prennent place à deux moments distincts du cursus de formation. Elles sont référées
à des sujets d’études inscrits au programme des classes de baccalauréat professionnel.
Situation 1 : Lecture - 50 minutes
À la fin d’une séquence, pendant laquelle une oeuvre ou un groupement de textes ont été étudiés, le professeur
propose un support nouveau (texte ou document iconographique) qui peut être pris dans l’oeuvre étudiée, qui peut
être pris dans ce qui précède ou ce qui suit un extrait étudié dans le groupement de textes, qui peut être un texte ou
document iconographique nouveau en lien avec la séquence dans laquelle s’insère l’évaluation.
Le candidat répond par écrit à trois consignes de travail. Il dispose de l’ensemble de ses documents (les textes lus,
l’oeuvre, ses notes de cours, des enrichissements de son choix, des travaux personnels …).
Deux consignes de travail visent à vérifier la capacité du candidat à construire le sens du texte :
- compréhension du sens explicite d’un élément du texte : la question porte sur le lexique, un fait de langue, un effet
d’écriture … ;
- interprétation: la question porte sur un élément du texte ou sur l’ensemble du texte en rapport avec le champ
littéraire inscrit au programme de l’objet d’étude.
Une troisième consigne de travail invite le candidat à choisir, dans l’oeuvre ou dans le groupement de textes étudiés,
un texte ou un document iconographique qui lui a particulièrement plu, ou qui l’a particulièrement frappé, et à
expliquer son choix en une dizaine de lignes.
Le candidat dispose d'une fiche, élaborée par le professeur, précisant les critères d'évaluation : connaissances
relevant du champ littéraire et du champ linguistique et capacités de lecture définies par le référentiel de certification.

Situation 2 - Écriture - 50 minutes
À la fin d’une séquence pendant laquelle une oeuvre ou un groupement de textes ont été étudiés, le professeur
propose une consigne qui peut être :
- soit une contrainte d’écriture prenant appui sur un des supports étudiés pendant la séquence,
- soit une question engageant une écriture argumentative en rapport avec la séquence.
Le candidat rédige un texte de trente à quarante lignes. Il dispose de l’ensemble de ses documents (les textes lus,
l’oeuvre, ses notes de cours, des enrichissements de son choix, des travaux personnels …).

- Histoire - géographie
Le contrôle est organisé en deux situations d’évaluation qui prennent place à deux moments distincts du cursus de
formation. Chaque situation comporte deux parties.
Situation 1 - 1 heure
1ère partie : en histoire, trois ou quatre questions de connaissance portant sur un des sujets d’étude,
2ème partie : en géographie, commentaire d’un ou deux documents.
Situation 2 - 1 heure
1ère partie : en géographie, trois ou quatre questions de connaissances portant sur un sujet d’études,
2ème partie : en histoire, commentaire d’un ou deux documents.

EG2- Mathématiques
Coefficient 4
1 - Objectifs de l’épreuve
L’épreuve en mathématiques est destinée à évaluer la façon dont les candidats ont atteint les grands objectifs visés
par le programme de mathématique fixé par l’arrêté du 10 février 2009 pour les classes préparatoires au baccalauréat
professionnel :
- former à l’activité mathématique par la mise en oeuvre des démarches d’investigation et de résolution de problèmes ;
- apprendre à mobiliser les outils mathématiques dans des situations liées à la profession ou à la vie courante ;
- entraîner à la lecture active de l’information, à sa critique, à son traitement en privilégiant l’utilisation des TIC ;
- développer les capacités de communication écrite et orale.
2 - Modes d’évaluation
Contrôle en cours de formation (noté sur 20 points)- 1heure.
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Le contrôle en cours de formation comporte une situation d’évaluation en mathématiques notée sur 20, et fractionnée
dans le temps en deux séquences, chacune notée sur 10. Chacune des séquences se déroule quand le candidat est
considéré comme prêt à être évalué à partir des capacités du référentiel de compétences. La première séquence doit
cependant pouvoir être organisée avant la fin du deuxième semestre de la seconde professionnelle et la deuxième au
plus tard à la fin du premier semestre de première professionnelle.
Une proposition de note est établie. La note définitive est délivrée par le jury.
Cette évaluation en mathématiques est d’une durée totale d’une heure environ pour l’ensemble des deux séquences.
L’évaluation est conçue comme sondage probant sur des compétences du référentiel.
Chaque séquence comporte un ou deux exercices avec des questions de difficulté progressive. Les sujets portent
principalement sur les domaines mathématiques les plus utiles pour résoudre un problème en liaison avec un secteur
professionnel ou la vie courante. Lorsque la situation s’appuie sur d’autres disciplines, aucune connaissance relative à
ces disciplines n’est exigible des candidats et toutes les indications utiles doivent être fournies dans l’énoncé.
L'un des exercices comporte une ou deux questions dont la résolution nécessite l'utilisation de logiciels ou de calculatrices
par les candidats. La présentation de la résolution de la (des) question(s) utilisant les TIC se fait en présence de
l’examinateur. Ce type de questions permet d'évaluer les capacités à expérimenter, à simuler, à émettre des conjectures ou
contrôler leur vraisemblance. Le candidat porte ensuite par écrit sur une fiche à compléter, les résultats obtenus, des
observations ou des commentaires.
Épreuve ponctuelle de mathématiques (notée sur 20 points) - 1 heure
Le sujet se compose de deux ou trois exercices avec des questions de difficulté progressive recouvrant une part aussi
large que possible des capacités mentionnées dans le référentiel de BEP.
Les thèmes mathématiques concernés portent principalement sur les domaines mathématiques les plus utiles pour
résoudre un problème en liaison avec d’autres disciplines, un secteur professionnel ou la vie courante. Lorsque la
situation s’appuie sur d’autres disciplines, aucune connaissance relative à ces disciplines n’est exigible des candidats et
toutes les indications utiles doivent être fournies dans l’énoncé.
Un exercice au moins concerne l’utilisation de TIC. Dans ce cas l’énoncé est adapté au contexte des programmes et aux
modalités de l’épreuve : certains éléments qui pourraient être nécessaires (copies d’écran, résultats de calculs, etc.)
sont fournis sur papier avec le sujet.
3 - Instructions complémentaires pour l’ensemble des types d’épreuves (contrôle en cours de formation ou
épreuve ponctuelle)
Le nombre de points affectés à chaque exercice est indiqué sur le sujet. La longueur et l’ampleur du sujet doivent
permettre à tout candidat de le traiter et de le rédiger posément dans le temps imparti.
Si des questionnaires à choix multiple (QCM) sont proposés, les modalités de notation doivent en être précisées. En
particulier, il ne sera pas enlevé de point pour les réponses fausses.
La clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront dans l’appréciation des copies
Calculatrices et formulaires
L’emploi des calculatrices est autorisé, dans les conditions prévues par la réglementation en vigueur. Il est ainsi précisé
qu’il appartient aux responsables de l’élaboration des sujets de décider si l’usage des calculatrices est autorisé ou non.
Ce point doit être précisé en tête des sujets.
Il n’est pas prévu de formulaire officiel. En revanche, les concepteurs de sujets peuvent inclure certaines formules
dans le corps du sujet ou en annexe, en fonction de la nature des questions.
4 - Remarques sur la correction et la notation
Les concepteurs de sujets veilleront, dans leurs propositions, à mettre en évidence les objectifs et les capacités ou
compétences visées.
Les consignes de correction devront permettre aux correcteurs de prendre réellement et largement en compte, dans
l’appréciation des copies la démarche critique, la cohérence globale des réponses.
Les examinateurs et les correcteurs ne manifesteront pas d’exigences de formulation démesurées, et prêteront une
attention particulière aux démarches engagées, aux tentatives pertinentes, aux résultats partiels.

EG 3 - Éducation physique et sportive
Coefficient 2
Les modalités de l'épreuve d'éducation physique et sportive sont définies par l'arrêté du 15 juillet 2009 relatif aux
modalités d’organisation du contrôle en cours de formation et de l’examen terminal prévus pour l’éducation physique
et sportive aux examens du baccalauréat professionnel, du certificat d’aptitude professionnelle et du brevet d’études
professionnelles.

Bulletin officiel spécial n° 9 du 15 octobre 2009
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Annexe IV
Tableau de dispense des enseignements généraux
(conformément à l’article 5 du présent arrêté)

EG1 : Français U3
EG1 : Français - Histoire - Géographie -
Éducation civique UG1
EG3 : Histoire - géographie U5
EG2 : Mathématiques - sciences physiques U4 EG2 : Mathématiques UG2
EG5 : Éducation physique et sportive U7 EG3 : Éducation physique et sportive UG 3

21 juillet 2010

candidat libre

je passe le bep pour juin 2011  en candidat libre c est à dire sans ecole en complement de mon travail.

si vous avez des infos , des noms de livres à acheter , des sites , des cours , je suis preneur

je suis un femme de 31 ans, 1 mari , 4 enfants , habitant la région parisienne .voila pour la présentation rapide


21 juillet 2010

BEP MRCU 1 ERE SESSION 2011

bonjour,

voici les 1 ere info que j ai trouvé sur  la Certification intermédiaire M.R.C.U.

BOspecial_9_du_1510_09_MRCU


et des liens : http://pedagogie.ac-amiens.fr/eco-gestion-lp/spip.php?article697               

  http://www.lescoursdevente.fr/bepvam/regbep.htm    

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BEP MRCU EN CANDIDAT LIBRE OU 2NDE PRO 3 ANS
  • je passe mon bep metiers de la relation aux clients et des usagers pour 2011 en candidat libre cours , sites , entraides venez raconter votre parcours c est aussi valable pour les 2nde pro 3 ans
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